Parcourir l’Inde
avec son pinceau,
c’est surprendre
les premières lueurs
du matin sur les gaths,
c’est peindre sur
des cartons blanchis
par le soleil la lumière
qui habite
les regards et les cœurs,
c’est dessiner le contours
des âmes avec la
bénédiction des dieux.

François Lesage

Parcourir l’Inde avec son pinceau, c’est surprendre les premières lueurs du matin sur les gaths, c’est peindre sur des cartons blanchis par le soleil la lumière qui habite les regards et les cœurs, c’est dessiner le contours des âmes avec la bénédiction des dieux.

François Lesage